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Sun3 Cet article concerne l'épisode intitulé "Le village du Nouveau Soleil". Pour le lieu, consultez Village du Nouveau Soleil.
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Le village du Nouveau Soleil est le trente et unième épisode de la série animée Les Mystérieuses Cités d'or. Il s'agit également du trente-et-unième épisode de la saison 1.

Résumé détaillé[]

Mendoza arrive dans la salle de la colonne de cristal, après avoir écarté les gardes en envoyant Pichu créer une diversion, et s'arrange pour déclencher le signal d'alarme, pour faire partir tous les olmèques. Après, il sabote le système de sécurité de la base, ce qui stoppe le processus sensé geler les enfants. Une fois dans la salle, et après avoir assommé tous les olmèques présents, il libère les enfants, et tous s'enfuient retrouver Sancho, Pedro et Maïna, qui rend ses affaires à Tao, qui tombe fou amoureux d'elle. Sans plus attendre, tous se précipitent dans le conduit d'évacuation des eaux usagées, et se retrouvent dans la grotte, libres[1].

Guidés par Maïna, la jeune esclave avec qui ils se sont échappés[1], nos héros s'éloignent du Bouclier Fumant aussi vites que le terrain le leur permet. En effet, ils longent actuellement une haute montagne, bordée d'un précipice, ce qui terrifie Esteban qui manque de tomber. Après avoir passé cette partie du chemin, nos héros arrivent devant une grande plaine, où ils se précipitent. Soudain, ils sont rattrapés par une trentaine de soldats olmèques, menés par un officier olmèque, qui les encerclent. Stupéfait de constater que la personne ayant permit à nos héros de s'enfuirent est Maïna, le général ordonne à ses hommes de tuer les marins, mais de garder les enfants en vie.

Soudain, les Olmèques sont attaqués de toute part, et meurt les uns après les autres, tués par des flèches tirées par des guerriers mayas. Terrifiés, les derniers olmèques s'enfuient, et retournent dans leur base. Nos héros font la connaissance de Viracocha, le chef des archers qui leur ont sauvés la vie. Maïna leur explique qu'ils s'agit de son fiancé, ce qui peine beaucoup Tao, qui espérait que la jeune maya allait se marier avec lui. Après un instant d'hésitation, Viracocha décide de traiter nos héros (et en particulier les trois Espagnols) en ami, et les amène dans son village.

Sur le chemin de ce village, Esteban interroge Maïna, qui lui explique que la route qu'ils empruntent actuellement est le seul moyen d'accéder à leur village, refuge contre les Olmèques. Viracocha rajoute que cette idée, ainsi que l'emplacement du village, viennent du chef de celui-ci, un homme ayant beaucoup voyagé.

Une fois arrivés au village, nos héros font la connaissance des enfants du village, qui sont étonnés de voir des étrangers. Tandis que nos héros mangent un repas bien mérités, sous les regards des habitants, amusés par les pitreries de Sancho et Pedro, Viracocha se dirige vers la maison du chef. Ce dernier s'avère être un vieil homme aux cheveux blancs. Ravi d'apprendre le retour de Maïna (qui est sa fille adoptive), il demande cependant à Viracocha d'attendre qu'ils soit guérit avant de lancer une attaque massive contre les Olmèques, et libérer le pays maya de leur joug.

Non loin de là, dans la salle d'audience de Ménator, ce dernier écoute le général défait raconter l'attaque des guerriers mayas. Furieux, Calmèque décide d'en profiter, et d'attaquer les Mayas, désormais qu'ils en connaissent l'emplacement. Soudain, des soldats olmèques font irruption, tenant captifs Marinché, Le Docteur et Tétéola. Ces derniers, afin de prouver leurs bonne intentions, décident de faire cadeau à Ménator d'une statue gigantesque en or.

Au village, Tao fabrique une petite roue à aubes, ce qui amuse et impressionne les enfants. Près de là, sur l'une des collines entourant le village, Esteban et Zia cueillent des plantes médicinales, en compagnie de Maïna, afin de soigner son père adoptif. Zia se montre légèrement jalouse de son amie, celle-ci ayant encore son père.

À des kilomètres de là, une colonne d'Olmèques se déplacent lentement dans une forêt touffue, guidés par Marinché et Laguerra. Soudain, ils arrivent à destination : les premières ruines. Les anciens compagnons de Cortés guident Calmèque et ses hommes devant la fosse des Mayas, au fond de laquelle se trouve encore le Grand Condor, la fameuse statue en or. En réalité, ils ne souhaitent qu'une seule chose, que les Olmèques remonte pour eux la statue.

La nuit tombée, nos héros dorment paisiblement dans une grande cabane (pour ne pas dire prison), gardée par un robuste maya. Soudain, Sancho et Pedro se réveillent, et parviennent à sortir discrètement de la maison. Sans se rendre comte des ennuis qu'ils risquent de s'attirer, les deux hommes se dirigent vers la maison de Papacamayo, pour aller interroger le vieil homme au sujet des cités d'or. Ce dernier est en train de discuter avec Maïna, qui lui apprend qu'elle s'est fait de nouveaux amis. Soudain, Sancho et Pedro tombent au milieu de la pièce, après être monté sur le toit fragile. Capturés aussitôt des soldats mayas, ils sont de nouveau enfermés sous bonne garde, à la grande fureur de Mendoza. Soudain, un messager apprend aux gardes que les Olmèques viennent de découvrirent un Condor en or massif.

Comprenant que c'est le moment d'agir, nos héros parviennent, au moyen de deux bouts de bois, à enflammer la maison, ce qui leur permet de s'échapper. Dans sa maison, le père adoptif de Maïna écoute cette dernière, qui lui affirme que Sancho et Pedro n'avaient sans doute aucune mauvaise attention en venant les espionner. Soudain, Maïna mentionne Esteban, Tao et Zia, ce qui stupéfait Papacamayo, le chef. En effet, il comprend soudain que Zia, qui est sa fille, a été faite prisonnière, et risque d'être exécutée.

De leur côté, nos héros affrontent les gardes mayas, et les enfants en profitent pour s'enfuir. Soudain, Maïna arrive en courant, et crie à Zia qu'elle a retrouvée son père, mais la jeune fille, déjà loin, n'entend pas.

Événements[]

Références culturelles[]

En quittant le Guatemala, dirigeons nous vers le Mexique. À cent quarante kilomètres, après trois heures et demie d'autocar, nous arrivons au village montagnard de Chichicastenango. Il est courant de rencontrer entre l'église et la montagne un groupe de fidèles montant vers les sommets avec un coq sous le bras. Celui qui marche en tête est un grand prêtre appelé Saforin. Il mène la procession vers le sommet où se trouve une idole sacrée.

Pour les Mayas, tout ce qui bouge dans la nature qui nous entoure est l'objet d'un culte : le soleil, le vent et même les collines. Les idoles de pierre sont placées au sommet des montagnes ou des collines. Les villageois leur attribuaient une force surnaturelle. Le prêtre administre donc la cérémonie pour les villageois qui se croient protégés contre les maladies et autres calamités. Le grand prêtre appelle les esprits au moyen d'une invocation : "Idole sacrée, approche toi de l'autel, bois le sang frais que nous t'offrons et réalise nos souhaits." Après la cérémonie, on distribuera les restes de l'animal qui a remplacé aujourd'hui les victimes humaines. Les grands prêtres sont des conseillers qui, par leurs prédictions, interviennent dans la vie du village.

Galerie[]

Références[]

Navigation[]

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